J’habite un rêve sans fin
une maison ouverte aux vents de passage
un espace sans cesse menacé
j’habite un temps ennuagé
une saison hasardeuse
un temps voilé de silence
les routes ne conduisent plus
n’innervent plus la vie en boule
ta voix me saisit…
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AGNES SCHNELL
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Thierry Metz