Le tracé des doutes est tel une rivière
Et les berges appellent en cendres le héron
Qui pourtant déploie
Ses ailes argentées juste là,
Au sommet où le baiser se pose
Toujours à la cime
Surplombant les pans de solitude de silence,
Un baiser ourle le ciel d'un nuage blanc ;
Un voile léger dans l'immensité bleue,
Un regard intense dans l'océan des inaperçus
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MARTINE CROS
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