Ô ma jeunesse labourée, à peine découverte, à peine libre, mais libre enfin de regagner ses jachères…
Je me suffis de mes assolements.
Paresse est force de fou, caresse de loup, silence de Grand-Messe ; temps de glace, hiver sourd, temps de chasse pour vous mes poux, mes rêves, mes doux nourrissons du carnage.