Un arbre et puis un arbre et puis
le froid
je ne veux plus que cet aveugle
me guide
comme on est seul
quand on marche depuis toujours
un arbre et puis
pas même un arbre, une distance
d’autres, je les aimais,
sont loin.
....
Qu’il réveille les anges, ce cri qui ne cesse pas...
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CLAUDE ESTEBAN
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