Le 26 mars, le gouvernement a INTERDIT aux médecins de terrain de prescrire aux malades le médicament le plus prometteur contre le coronavirus.
Des médecins se révoltent et vous demandent d’agir vite– lisez vite cet appel et mobilisez-vous !
Madame Monsieur,
Je m’appelle Eric Ménat, je suis médecin de terrain depuis 30 ans, et je n’ai jamais vu un scandale aussi énorme.
Contre le nouveau coronavirus, il existe un médicament très prometteur, l’hydroxychloroquine (Plaquenil)
Les Chinois en ont vérifié l’efficacité dans plusieurs études et l’ont recommandéà leurs médecins.
La Corée du Sud l’utilise massivement, avec d’excellents résultats contre l’épidémie.
L’État marocain a décidé de donner ce traitement à tous les malades et les résultats épidémiologiques paraissent positifs
Le Professeur Raoult à Marseille a des résultats préliminaires très encourageants avec ce médicament, surtout quand il est associéà un antibiotique, l’azithromycine.
Même le directeur général de Novartis, un grand laboratoire pharmaceutique suisse, a déclaré que l’hydroxychloroquine est le « plus grand espoir de traitement » contre le coronavirus.
Et pourtant, depuis le 26 mars, la France interdit à la plupart des malades de bénéficier de ce traitement.
Le 26 mars, le gouvernement a pris un décret qui m’interdit, à moi comme à tous les médecins de terrain, de prescrire ce médicament prometteur aux patients victimes du Covid-19.
C’est un scandale inimaginable.
Les médecins généralistes pourraient sauver des vies, mais on les en empêche.
Les médecins généralistes pourraient éviter des milliers d’hospitalisations, mais on les en empêche.
Les médecins généralistes pourraient même contribuer à permettre une sortie plus rapide du confinement, mais on les en empêche.
Il faut agir, et c’est pourquoi je vous demande de signer d’urgence la pétition que j’ai lancée avec d’autres confrères médecins.
Nous demandons l’abrogation immédiate du décret du 26 mars, et l’autorisation immédiate pour les médecins généralistes de prescrire de l’hydroxychloroquine à leurs patients qui pourraient en bénéficier.
Je rappelle que l’hydroxychloroquine est un médicament très sûr.
Des dizaines de millions de patients en ont pris tous les jours, pendant des années, avec une excellente tolérance dans la majorité des cas.
Comme l’a dit le Pr Didier Raoult de Marseille, l’hydroxychloroquine a beaucoup moins d’effets indésirables graves que le Doliprane. Surtout que son protocole prévoit un traitement sur 10 jours uniquement et que les éventuels effets secondaires apparaissent surtout après 1 ou 2 ans de traitement.
Jusqu’au mois de janvier 2020, il était même en vente libre en France – c’est vous dire s’il était considéré comme sans risque par les autorités.
Bien sûr, ce médicament ne doit pas être pris en automédication, mais c’est un médicament sans danger s’il est prescrit par un médecin.
Et surtout, à ce jour, c’est le seul médicament qui ait montré une efficacité pour aider à guérir du coronavirus !
En Italie, les médecins généralistes ont le droit prescrire l’hydroxychloroquine à leurs patients, avec des résultats très prometteurs.
Voici ce que vient de déclarer le Pr Bartoletti, vice-président de la Fédération italienne des médecins généralistes :
« Les résultats que nous commençons à accumuler suggèrent que l’hydroxychloroquine administrée tôt, donne la possibilité d’éviter une évolution grave à une majorité de patients et permet de désencombrer les salles de réanimation ».
Mais en France, on interdit aux médecins généralistes de le faire.
Il est urgent d’abroger le décret du 26 mars.
Vite, signez la pétition pour que le gouvernement autorise à nouveau les médecins de terrain à prescrire ce médicament.
« Qu’attendons-nous pour permettre aux médecins de le prescrire, d’avoir davantage de morts ? » a demandé récemment le Pr Perronne, chef de service d’infectiologie à l’hôpital de Garches.
Et en effet, c’est incompréhensible.
En France, le gouvernement a pris trois décisions absurdes :
- Réserver l’hydroxychloroquine aux cas les plus graves : alors qu’on sait que ce médicament n’a plus d’effet quand il est donné trop tard !
- Le prescrire seul alors qu’on sait qu’il est plus efficace quand il est associéà l’azithromycine
- Et réserver l’hydroxychloroquine aux médecins hospitaliers, alors que c’est justement pour éviter l’aggravation des malades et leur hospitalisation que ce médicament semble le plus utile !
Partout dans le pays, les médecins de terrain sont en train de s’indigner.
Dans les Yvelines, le Dr Ribat a lancé un coup de gueule dans la presse :
«On vient de me retirer le droit de délivrer une ordonnance d’hydroxychloroquine que je prescrivais à mes patients rhumatisants depuis 40 ans ! Une molécule que j’ai avalée pendant plus d’un mois contre le paludisme lorsque je me suis rendu en Haïti après le tremblement de terre de 2010. »
En Alsace, un collectif de médecins demande l’autorisation de le prescrire pour les personnels soignants, qui sont en première ligne !
« Les médecins vous demandent le droit d’aller au front et d’enfoncer la première ligne du virus », ont-ils déclaré publiquement !
Même l’ancien ministre de la Santé, Philippe Douste Blazy, a appelé le gouvernement à abroger le décret du 26 mars et libérer la prescription de l’hydroxychloroquine.
Pour l’instant, le gouvernement fait la sourde oreille.
Voilà pourquoi nous devons être des MILLIONS à signer cette pétition de toute urgence.
Les médecins ont fait 10 ans d’étude et sont parfaitement capables, en toute connaissance de cause, de prescrire ce médicament à leurs patients qui en ont besoin. C’est bien votre médecin généraliste qui vous connait le mieux et saura choisir le meilleur traitement pour VOUS.
On peut abroger sans problème le décret du 26 mars, car il n’y a même pas de problème de pénurie ou de manque de stocks !
Sanofi a déjà mis 300 000 boîtes d’hydroxychloroquine à disposition des Français et nous attendons du gouvernement qu’il ordonne au plus vite sa production en plus grande quantité.
Une boîte suffit par patient, pour un coût de 5,19 euros.
Donc 300 000 patients pourraient déjàêtre soignés, pour un coût dérisoire.
Alors qu’est-ce qu’on attend ?
Pourquoi la France persiste-t-elle à conserver ce décret désastreux ?
La raison est que les experts qui conseillent le gouvernement sont totalement déconnectés du réel, de la réalité du terrain.
On peut aussi s’interroger sur leurs éventuels conflits d’intérêts. Beaucoup ont été rémunérés, d’une façon ou d’une autre, au cours de leur carrière, par des laboratoires qui vendent des traitements bien plus coûteux que l’hydroxychloroquine !
Voilà pourquoi nous devons être des millions ànous mobiliser pour faire contrepoids.
En signant cette pétition, vous libèrerez les mains de votre médecin traitant et vous lui permettrez de se replacer au centre de notre système de santé, la place qu’on n’aurait jamais dû lui enlever !
Il est urgent d’abroger le décret du 26 mars.
Il faut immédiatement redonner au médecin la liberté de prescrire l’hydroxychloroquine.
Par notre action, vous et moi pouvons espérer sauver des vies.
Vous et moi pouvons espérer éviter des hospitalisations.
Vous et moi pouvons espérer mieux protéger les personnels soignants de nos hôpitaux, héroïques en ce moment.
Signez vite notre pétition, et transmettez làà tous vos contacts.
Je compte sur vous.
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Dr ERIC MENAT
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